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Cote d’Ivoire, 1978. Aya vit pour Yopougon, votre quartier populaire d’Abidjan. Elle a dix-neuf ans. Partageant des heures entre son boulot scolaire (c’est de eleve particulierement serieuse !), ses deux amies Adjoua et Bintou, et sa propre famille, Aya a pour belles ambitions : celle-ci souhaite devenir medecin ! Aya de Yopougon nous montre l’Afrique comme on en parle rarement. Qu’est-ce que ca fera du bien ! Au-dela quelques « histoires de meufs », cette belle serie aborde des questions annuels particulierement interessantes : le gabarit d’une famille et de l’autorite, l’education, l’espace des jeunes meufs au sein d’ Notre entreprise. Gaie, savoureuse, une telle histoire au vocabulaire si depaysant et limite poetique est illustree par Clement Oubrerie dont nos dessins – faussement naifs, tel parait l’etre l’histoire – et la palette de couleurs restituent Correctement l’ambiance et les divers moments d’la journee. Nombre aime, aussi lorsque au fil quelques albums, l’histoire s’etire de longueur… un brin super en general. Loin quelques cliches via l’Afrique, serie a parcourir, deh !!
Je partage tout a fait l’avis que nous passons 1 moment plutot agreable a l’egard de une telle bd rafraichissante loin des cliches habituels via l’Afrique entre guerres et famines. D’ordinaire, je serai sans doute passe pour cote peut-etre a cause tout d’un graphisme un brin simplet. Y’a Di?s Que aussi reussi enfin pour bien apprecier ce crayonne particulier et expressif melant de chaudes coloris.
Malgre tout, ces albums qui content leurs chroniques de belles jeunes africaines , lequel souhaitent assurer leur avenir chacune pour leur maniere regorgent non juste pour verites et egalement d’humanite. Nous vivons Gri?ce i mon regard amuse leurs problemes entre une forte autorite parentale et leurs deboires amoureux.
Je possi?de eu legerement de mal au milieu des expressions pour langage typiquement ivoiriennes Toutefois on arrive a s’y faire et on se prend du jeu. On ressent vraiment de la espece d’ambiance typiquement africaine. Cela fait d’un Correctement de lire des bds qui relevent Votre niveau. Un resultat de la grande maturite.
Concernant autant, des suites http://www.datingmentor.org/fr/once-review/ qui se succedent commencent pour desintegrer petit pour petit J’ai magie , lequel avait opere lors des 2 premiers tomes. Cela devient un tantinet n’importe quoi a l’image des soap TV. C’est dommage car l’auteur aurait du s’arreter et ne pas rallonger inconsiderement J’ai sauce.
L’Afrique comme on n’a Manque l’habitude de la visionner ! Vraiment leger, vraiment drole. Je n’ai engloutit la totalite des tomes. De plutot plaisants moments pour divertissement !!
Gui?re embale Pas que ca
pris Un tome 1 les yeux fermes sur leurs remarques dythirambliques Avec votre collection.
je ne l’ai pas ete emballe plus que cela, je n’arrive nullement a accrocher aux personnages, leur attitude puerile m’exaspere Pas qu’elle me fait rigoler. L’histoire alors n’arrive Manque pour me captiver.
je n’ai achete Ce tome 2 Gri?ce i environ mefiance, tout en me disant que j’allais pourra etre Posseder Un declic, et Correctement pas vrai, une telle serie n’etait pas me concernant.
Mega deception concernant votre volume en regard de la pertinence de ce est une serie. D’une part, c’est certes minime, le dessin et la couleur ont continue la ti?che pour modification apparu cela fait le tome trois. Le dessin est une telle fois plus fin, plus expliques. Paradoxalement cela me gene, l’identite visuel de la serie de reste altere, au point qu’on pourrait facilement affirmer que l’album est dessine par un quidam d’autre que C.Oubrerie. D’autre part, J’ai narration utilise quelques travers Afin de arriver a conclure, manifestement hativement, Notre serie. Vos dernieres planches paraissent caricaturales concernant 1 collection dont Ce excellent rythme avait ete trouve des Un premier album. Ainsi en 10 planches : Bonaventure Sissoko recroise 1 gamin, Gregoire un pere, Moussa est decore, Aya fait arreter Mon mechant prof etc. Pourquoi votre requi?te pour tout prix une fin heureuse ?
Tout se denoue pour Yopougon, leurs masques tombent et tous les goi»ts doivent etre assumes. Et forcement Le melange de serieux et d’humour , lequel font Un piment et l’originalite de cette collection. Aussi apres Ce happy-end final, trop excellent pour etre honnete, nous regretterons Aya et ses copines.
Je ne pas encor fini ni a J’ai moitier maiis je doiis diir kil n’est jamais ceux ke j’imaginner
j’imaginner kelkue chose de . bien sii je puis dir Sans compter que simpa, avk plus d’humour, de joie, de sensation, de curiosite et environ suspence ou dialogue Pas interessant