Mes inegalites hommes / jeunes femmes au monde du article existent depuis deja bien des siecles; et ces inegalites persistent encore aujourd’hui.

Mes inegalites hommes / jeunes femmes au monde du article existent depuis deja bien des siecles; et ces inegalites persistent encore aujourd’hui.

Mes stereotypes sont nombreux et persistent depuis des annees eux aussi.

Ceux lies a toutes les genres existent encore. Pourtant, des progres ont ete constates : des lois ont ete crees De sorte i  limiter diverses inegalites. Nous parlerons, Afin de commencer, du parcours scolaire feminin plus aise. Ensuite, nous parlerons de l’ascension Complique de l’ecole au monde du travail. Enfin, nous terminerons avec des inegalites specifiques au monde du travail.

I- Le parcours scolaire feminin reste plus enfantin

a) Les diplomes ne semblent gui?re analogues

Mes filles, habituellement, reussissent plus a l’ecole que des garcons. Effectivement, en 2013, l’Insee a realise une enquete sur le taux de reussite du baccalaureat. Le taux de reussite chez les filles etait de 93.2% contre 90.8% Afin de nos garcons. Sur une autre enquete de l’Insee, le taux des femmes entre 25 et 54 ans diplomees superieurs etaient, en 2011, de 38.1% contre 32% Afin de les hommes. Les meufs paraissent meilleures que nos garcons au cours des evaluations nationales. Elles ont, grace a ces acquis, des parcours scolaires plus aises que des garcons.

Sur votre graphique, nous pouvons voir le pourcentage de diplomes, superieurs ou non, hommes / jeunes filles entres dans l’existence active depuis moins de six annees, de 1984 a 2008. En 1984, il n’y avait que 19% d’hommes diplomes du superieur contre 20% de jeunes filles, entrees dans notre vie active depuis moins de six annees. On peut d’ailleurs constater qu’en 1984, le pourcentage de diplomes superieurs etait inferieur au pourcentage des peu diplomes, qu’ils soient hommes ou dames : il y avait moins d’etudes realisees au superieur. Cependant en 2008, on constate qu’il y a plus d’etudes superieures accomplies et ceci Afin de des deux genres. On remarque qu’il y a 51% des filles qui sont diplomees de l’enseignement superieur contre 37% chez nos garcons. Pour ces dames, le chiffre a double depuis 1984 ce qui signifie que les femmes reussissent et s’orientent plus vers des diplomes superieurs On constate que vers 1990-1991, le pourcentage de jeunes femmes diplomees du superieur et sorties depuis moins de six annees techniques initiale, depasse le pourcentage de femme minimum diplomees. Pour nos garcons, votre changement ne se realise jamais avant 1992-1993.

Les filles s’ameliorent donc au domaine en formation superieure et cela favorise un insertion dans l’existence professionnelle apres les etudes. Mais malgre tout, le succi?s des etudes depend aussi en filiere choisie.

b) Mes filieres prises ne sont gui?re identiques

Grace a des acquis, le parcours scolaire est donc plus simple concernant des filles comme devoile precedemment. Mais celles-ci continuent de selectionner des filieres / specialites totalement plusieurs que celles que prennent les garcons.

Sur votre document, on va pouvoir remarquer qu’il y a plus de garcons dans l’enseignent superieur (94.8%) que de filles (92.3%). Nous pouvons voir qu’il y a 66% de meufs a l’universite et 9% en STS (Science de Technicien Superieur = enseignement technique de francais) contre 62% de garcons en universite et 8% de garcons en STS. On remarque aussi que les garcons se sont diriges par les IUT (12% contre 8% de filles) et les classes preparatoires a toutes les grandes ecoles (13% contre 10% de meufs). Cependant, on peut remarquer que les meufs sont majoritairement presentes en autres orientations (5.7%),comme dans les ecoles d’infirmieres, ou les garcons se trouvent en minorite avec un pourcentage de 1.2%.

Pour ce faire une option plus precise des filieres empruntees par des meufs, nous allons nous pencher dans le choix precis qu’elles font.

On va pouvoir deja remarquer que des meufs paraissent en majorite en universite dans des filieres qui se rapportent plus au domaine du social et des lettres. On en deduit donc des baccalaureats plus litteraire (pres de 80% en 2009 en bac L) et social (63% en bac ES).

Dans ce document, on peut constater qu’il y a donc environ 27% de meufs sur 100 qui se sont dirigees au domaine des lettres et des sciences-humaines : c’est dans celui-ci ou elles se trouvent en majorite. Cependant, on remarque aussi qu’une majorite de garcons sont dans le domaine des sciences et STAPS (environ 18% contre 9% pour les filles), et dans des formations d’ingenieurs (7% contre 4% de filles),… Tout cela se rapporte plus aux domaines des maths et des sciences. On va en deduire des baccalaureats plus scientifiques (53% en bac S en 2009) et technologiques (90% en STI).

Plusieurs stereotypes seront lies aux etudes : l’actrice, « plus sociable », va devoir se diriger plus par des domaines en liens avec le paramedical, les sciences-humaines…. et l’homme, plus « doue » en maths et en science, par des benaughty secteurs scientifiques. Mais on peut remarquer que malgre ces stereotypes, 1 plus large panel de jeunes filles commence a venir dans des filieres plus scientifiques cela prouve qu’elles ne sont nullement moins intelligentes que des hommes lorsqu’il s’agit de sciences. Neanmoins, nos etudes ne semblent que le commencement : un chacun de l’emploi est une autre histoire.

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